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Le nombre d'or - 1e partie

C'est Ileana, ma meilleure amie, marraine de ma fille et artiste peintre, qui m'a parlé la première fois de l'ombre dort. Je l'écoutais pas vraiment à l'époque. J'avais juste envie de coucher avec et je me demandais pas pourquoi elle associait une ombre à Leonardo Da Vinci.



Après mes débuts au théâtre et au cinéma, je me suis mis à la photographie. En bricolant mes premiers cadres, je suis rapidement tombé sur une grille qui séparait l'image en 9 dans le viseur de mon appareil. C'était la grille de la règle des tiers qui stipule qu'il vaut mieux parler de composition avec des images plutôt qu'avec des mots !



Utilisation d'une intersection des lignes de force de la grille de la règle des tiers




Pendant des années, même en tant que photographe professionnel, j'ai utilisé les lignes et points de force de la règle des tiers sans me poser la moindre question sur le pourquoi du comment. Finalement, c'était pas ma libido qui était à l'origine de mon désintérêt pour ces questions. Tout ce que je voulais, c'était faire de belles images. Le reste, je m'en frottais les balayettes.


Puis j'ai commencé l'enseignement de la vidéo à des apprenti-e-s de 18 ans et j'ai vite compris l'intérêt à avoir des trucs à raconter. J'ai recherché alors les histoires des individus qui se cachent derrière nos métiers.


Avant que je vous raconte celle d'un autre illustre Leonardo du début du XIIIe et de sa découverte du nombre d'or, je vous invite à prendre quelques jours pour observer comment les cadreurs des images qui défilent dans nos écrans utilisent la règle des tiers pour accrocher et détendre nos regards.



Et si vous avez du temps, jetez un oeil sur le site d'Ileana et sur son logo !


À tout bientôt pour la 2e partie !


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